Contrairement au idées reçues, le stress n’a jamais fait grossir personne. Pour grossir , il faut ouvrir la bouche !
Il existe deux sortes de stress : les graves qui la plupart coupent l’appétit ; et les petit stress quotidiensqui eux ; l’augmentent . Intervient ici la notion “d’envie” ou de “pulsion alimentaire”, que l’on peut assimiler à une “toxicomanie” , au même titre que le tabac ou l’alcool , l’alimentation représentant pour beaucoup la simple compensation d’un état de stress ou d’anxiété .
Il faut , pour comprendre l’intérêt de ce qui suit, intégrer qu’ici, la personne en surcharge pondérale va être considérée temporairement comme un toxicomane de l’alimentation qu’il faut sevrer totalement de certains aliments, comme l’alcoolique et le fumeur que l’on prive complètement d’alcool et de tabac pendant la phase de désintoxication .
Le bénéfice de l’amaigrissement, rapide au début doit permettre :
- d’inverser le cercle vicieux “mal dans ma tête, mal dans mon corps, envie de manger, manger, culpabiliser, grossir….. mak dans la tête”
- de le rompre en mangeant différemment mais en quantité suffisante, de manière satisfaisante pour les yeux et le palais, en variant les aliments autorisés et en luttant contre la monotonie du trop fameux “steak-salade”